C'est d'abord et avant tout quelque chose qu’il faut analyser en se mettant à la place de l'acquéreur potentiel.
C'est l'acheteur qui déterminera quels éléments sont déterminants pour payer un certain prix (supplémentaire).

Les paramètres qui reviennent régulièrement sont :
EBITDA solide
Démontrer année après année que le résultat opérationnel (EBITDA) est stable et de préférence en hausse, donne beaucoup de confort à l'acheteur potentiel. Cela rend, dans une certaine mesure, les résultats futurs prévisibles.
Excédent de trésorerie
C'est avec l'excédent de trésorerie, que les activités génèrent annuellement, que le remboursement du prix d'acquisition peut être réalisé. Plus la trésorerie excédentaire annuelle est élevée, plus le prix de cession est élevé.
Activité de niche
Quels sont vos arguments de vente ? Comment vous distinguer vous par rapport aux autres ? Plus votre position est unique, plus votre entreprise aura de valeur aux yeux d'un acheteur.
Potentiel de croissance
Un acquéreur est tourné vers l'avenir. Plus vous pourrez démontrer, par des plans d'affaires, des projections futures du secteur, ... que votre activité a un avenir, plus les candidats se présenteront comme des acheteurs potentiels. Plus il y a de candidats, plus votre entreprise sera prendre de la valeur.
Équipe d'experts
Une entreprise qui s'appuie sur une équipe compétente dispose d'un avantage certain. Cela ne crée pas nécessairement une valeur ajoutée directe sur la valeur de l'entreprise. Mais un "one man show" de la part du dirigeant fait baisser la valeur de l'entreprise.
Efficacité opérationnelle
Des processus documentés et rationalisés, des certifications, des outils performants... contribuent à une image forte. C'est certainement perçu comme positif par un acquéreur.